L’emprise de l’ogre est le titre d’un volume autonome de l’ensemble « In-Existence » et il est désormais complet et prêt à lire pour tous ceux qui le souhaitent ! ✨
Les retours sont toujours plus que bienvenus et sont réellement pris en compte. Si vous souhaitez bavarder de vos impressions, des passages que vous aimez (ou pas), des personnages que vous appréciez (ou détestez), ce sera avec plaisir !
Pour en savoir plus…
- 🐾 Invitation au Discord FIM
- 🎵Playlists d’In-Existence
- 📕 Sur In-Existence (+ versions récentes des textes ✨)
📚De quoi ça parle ?
L’emprise de l’ogre emprunte à plusieurs genre :
- Cold case : on revient sur une affaire de meurtres particulièrement brutaux pour l’éclairer d’un jour nouveau
- Film noir : on explore des vies au sein de la noblesse d’argent de Demigo (les « fondateurs » de la ville), entre soirées mondaines et zones grises ; les relations de pouvoir minent de vieilles amitiés. En l’espace de seulement quelques jours, tout aura été bouleversé.
- Fantastique : il y a du surnaturel, et tout une société de l’ombre, avec ses occultistes, ses malédictions, ses rituels et ses souterrains
Voilà onze ans, un groupe d’amis se réunissait dans un chalet luxueux pour passer quelques jours de vacances en hiver. Leur séjour devint un cauchemar dont seuls trois réchappèrent. Aujourd’hui Éline Cliffe est enfermée à l’asile psychiatrique de Blakova, accusée de l’ensemble des meurtres tandis que Maxim Arakel Lastôr mène l’existence d’un riche héritier de famille fondatrice de Demigo. Ce qu’il vit dans les souterrains à l’époque continue de le hanter et le pousse à déchirer le Voile des évidences superficielles.
📖Journal d’écriture
La complétion de l’Emprise de l’ogre (alias « Livre 3 » dans le travail préparatoire) date déjà d’une bonne quinzaine de jours. J’ai fini quelques passes de recherches de coquilles et répétitions, et c’est le texte censément propres qui arrive ici.
En travaillant sur environ 5 mois dessus (avril-août), il est passé de l’ordre de 600 000 à 1100 000 signes, avec de grosses reprises (donc remplacement pur de texte). Cela fait une moyenne de 25 000 signes par semaine « neufs », et cela a représenté habituellement une à trois heures par jour (enfin, essentiellement par soir), avec ponctuellement un peu plus. Les sessions plus denses ont servi à me débloquer sur des chapitres difficiles.
Comme prévu, j’ai un nouveau casse-tête sur la table. En examinant l’agenda des journalistes, je me suis rendue compte que j’avais des trous qui n’avaient pas de sens. Or, leur chronologie sera importante pour des événements majeurs en « JOUR 7 » ou « JOUR 8 ». Je me suis donc posée avec les emplois du temps des « personnages secondaires ». Cela fait longtemps que j’ai un souci avec Beric. Je vois que quelque chose cloche, mais je n’arrive pas à savoir comment aborder la recherche de solution. Je me pose aussi beaucoup de questions à propos de Geremie Spinelli (que les primo-relectrices adorent détester). Le travail de dentelle des reprises concernera « Le dévoilement des Limbes » (JOUR 5) et aura de l’influence sur « Le bûcher de l’innocence » (JOUR 5 à 7).


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