Après de longues séquences de pluie, le soleil nous a rendu visite durant une dizaine de jours. Fini les « sprouitch » d’un sol gorgé d’eau à chaque pas, et début des bourgeons !
L’exercice de bilan mensuel m’amène à rouvrir mon agenda sur les pages précédentes. Le début de février me parait déjà très lointain ! C’est toujours un effort de se replonger lentement dans le passé récent, mais dans le même temps, c’est aussi instructif et aide à porter un regard plus clair sur les événements et les actions en cours.
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🔷 Ménage et rangements
J’ai pris un peu de temps la semaine passée pour réorganiser et étoffer la page d’accueil du site et celle du blog. Cela s’est également accompagné d’une remise à plat des « catégories » et des « étiquettes » associées aux articles. Le but derrière ces coupes et rassemblements est de faciliter la recherche d’informations.
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- Prêt à jouer : signale des scénarios, pièges, périls, incidents de voyage ou créature prêts à l’emploi
- Fortuna imperatrix mundi : articles autour de cet univers qui me sert pour le jeu de rôle autant que pour les romans
- Actualité : une nouveauté, une rencontre
- Bilan : le point mensuel qui vous liste comme ici tous les liens vers les publications
- Techniques et méthodes : jdrologie, analyse, outils
- In-Existence : journal d’écriture et réflexions de fond, qui peuvent être transversale entre roman et jeu de rôle
- Documentation : des infos, des sources, et des pistes sur leur transformation en matériau ludique
🔷 Les articles en documentation
Je place ici le « prêt à jouer » du mois, car le concombre explosif dérive directement d’une lecture de documentation 📚✨ !
Et j’ajoute une pointe de bibliographie : j’ai ici un pavé (A4, plus de 700 pages) sur les ruines et leur représentation. Il me regarde depuis ma pile de « à lire » et semble très prometteur, avec des considérations sur les points de vue hors Europe (chapitre 3 sur la Chine, et chapitre 5 sur le monde préislamique et islamique).
📚 Alain SCHNAPP, Une histoire universelle des Ruines – des origines aux Lumières, Seuil, 2020.
Bibliographie en criminologie et histoire de la violence
Une présentation d’ouvrages en criminologie et histoire de la violence. Ils sont utiles en création d’univers fictionnels et plus généralement pour mieux comprendre notre monde.
Le concombre explosif
Une brève sur la physiologie d’un concombre explosif dérive vers la rédaction d’un péril prêt à l’emploi (5e ed/FIM).
Lire et imaginer les ruines
La civilisation des nuraghi s’est épanouie en Sardaigne durant l’âge du bronze. Faute de témoignages écrits, il est difficile de l’appréhender directement. Cet article s’intéresse autant à la manière de chercher des ressources de création qu’aux questions que les civilisations historiques et fictionnelles posent. Ici, un exemple avec la question de l’évolution sur le temps…
🔷 In-Existence
En début 2024, j’entamais un gros chantier de restructuration globale, en trois « séries ».
Pour se représenter l’articulation de l’ensemble, on peut imaginer trois romans se déroulant à Gotham City et s’intéressant à l’histoire de trois groupes ayant chacun leurs problématiques qui constituent le centre de leur monde : 1/ le Joker et la pègre (l’équivalent de l’arc « La toile de la malédiction ») ; 2/ Bruce Wayne cherchant à résoudre un mystère ; 3/ des citoyens « normaux », mais engagés et aux prises avec les deux autres groupes.
Après un an, je constate au vu de mes notes que les restructurations visant à résoudre des problèmes portent sur des volumes moindres. Il s’agit désormais plutôt de réécriture sur un à trois chapitres, et plus de reprise de dizaines d’entre eux. C’est plutôt rassurant et donne l’impression que l’ensemble commence à être robuste !
Pour autant, je suis loin de trouver l’exercice « facile », car je continue d’entremêler des événements qui se déroulent sur trois séries :
- chaque série a des protagonistes qui apportent leur point de vue et aux travers des yeux desquels on suit l’intrigue
- des protagonistes des trois séries se croisent en JOUR 6, échangeant plus ou moins d’informations, or ces points de contact doivent tenir compte aussi des données que le lecteur a s’il ne lit qu’une seule série, et de ce qu’il peut découvrir ou redécouvrir en en lisant une autre
- à quoi s’ajoute l’avancée globale des événements qui intègre les trois groupes de points de vue des séries
Les deux articles du mois et pour mémoire celui de début 2024 sur les restructurations qui débutaient.
Exploration du réseau Wattpad et premières observations
Wattpad est un réseau social consacré à l’écriture de fictions. Il est fréquemment associé à la romance, à la romantasy et à la dark romance. Autant de phénomènes littéraires actuels. J’ai voulu en savoir plus.
Peut-on vraiment cibler un lectorat ?
Comment savoir si un livre est fait pour nous ? Comment présenter un livre pour qu’il parle à son lectorat ? Est-ce seulement possible ?
Structures et restructurations d’In-Existence
Pour comprendre le cheminement de la rédaction d’In-Existence.
In-Existence
In-Existence est un cycle composé de trois séries autonomes. L’ensemble emprunte aux genres des histoires de gangsters, de l’urban fantasy et de la low science-fiction. Chaque série explore un aspect d’une même crise, complexe et multifactorielle.
🌱Journal de jardin
La période est surtout marquée par des préparatif plus que des accomplissements triomphants.
- Début des semis en pot, premier tour de tondeuse pour dégager les chemins, et préparation de zones de plantations.
- Lutte aussi contre les ronciers qui commençaient à prendre leurs aises, en allant déterrer au maximum leurs racines.
- Des brouettes dans un sens, et l’autre. Il y a encore beaucoup de rangement de bois en perspective.
Les ficaires forment de vastes tapis de fleurs jaune doré sous le tilleul, tandis que les primevères ont beaucoup gagné de terrain depuis notre première année ici (voilà cinq ans). Les perce-neige cèdent désormais la place aux jonquilles et aux violettes, qui commencent juste leur installation dans le jardin.
À notre arrivée, la pelouse était tondue particulièrement rase et systématiquement, partout. Des espèces végétales aussi communes que le lierre terrestre étaient absentes du terrain, de même que les pissenlits. Nos prédécesseurs avaient mené une guerre acharnée pour viser l’uniformité du couvert végétal. On pouvait y marcher comme sur un tapis. Il vaut désormais mieux sortir avec des bottes ! Mais en contrepartie, il y a bien plus d’espèces et de vie.
Rendez-vous à la fin du mois prochain pour de nouvelles aventures ! ✨
Fortuna Imperatrix Mundi 
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