Le Regenland est l’une des civilisations de l’univers Fortuna Imperatrix Mundi (FIM). Il est actuellement principalement développé en tant que cadre d’In-Existence.
- histoires de gangsters
- urban fantasy / contemporain fantastique
- low science-fiction
Ambiance : fougères ; forêts ; montagnes ; des villes comme des îles au milieu de la nature ; esthétique entre 1930-1950 et design contemporain ; une frontière avec les terres crues (et le rêve)
Sommaire
Pour en savoir plus…
🔷 Voyager au Regenland
■ Une brève histoire
Le Regenland a été fondé par des explorateurs et colons artlandais. Le territoire était couvert de forêts tempérées humides (d’où le nom de « pays de la pluie »). En l’absence de présence humaine, les découvreurs crurent être les premiers arrivés. Mais on mit au jour par la suite des vestiges (peintures rupestres, sépultures) indiquant qu’une population humaine existait autrefois.
Pourquoi ce premier peuple avait-il disparu ?
Le roman et le cadre de jeu se tiennent environ 200 ans après les débuts du peuplement. Le contact avec la métropole était de plus en plus compliqué du fait d’un phénomène météorologique (ou surnaturel ou les deux) appelé « brouillard magnétique ». Il perturbe les boussoles (d’où son nom), coupe les liaisons radio, et provoque des hallucinations (ou vision ou entrée dans un autre monde). La colonie déclara son indépendance après que les liaisons maritimes régulières sont devenues trop compliquées.
Qu’est-ce que le brouillard magnétique ?
Artland était une contrée matérialiste, mais l’étrangeté des phénomènes durant les traversées vers le Regenland ont provoqué une résurgence de la religiosité. Désormais l’église de Sirona, la dame de l’étoile, est devenue une institution importante, et d’autres croyances se sont développées. En particulier, les daêtiens, convaincus que le monde vieillit et sera détruit prochainement ; et les occultistes (de différentes obédiences). Beaucoup de mystiques s’interrogent sur les noms de lieu : « Demigo », « Teskani », « Sikaakwa »… sont autant de noms apparus dans les rêves des explorateurs.
Qu’est-ce que ces rêves révèlent sur le territoire ?
■ Mais encore ?
Chaque territoire a une saveur dramatique et des enjeux, et l’ensemble est en développement : droit, institutions, titres de presse, groupes criminels, créatures… Ce qui apparait sur le blog n’est qu’une petite portion de l’ensemble.
Les articles sur le « Regenland » …
Essai de création d’une religion (en fiction)
En travaillant à l’écriture d’In-Existence, je me suis heurtée à l’existence de la spiritualité daêtienne dans le cadre. Qu’était-elle ? D’où venait-elle ? Cet article évoque les étapes de sa création et les outils utilisés.
🔷Ambiance visuelle
Le Regenland a d’abord existé sous forme d’impression visuelle, de recherche esthétique. Les textes ont longtemps été des esquisses, et pour certains territoires le sont encore ! Comme pour Artland, chaque zone a des particularités et un code couleur, par exemple :
- Teskani : ville portuaire d’arrivée au Regenland ; comparable à un New-York revisité ; or et fumée
- Pariki : ville côtière au sud, avec un climat clément, méditerranéen ; rose poudré, bleu turquoise, couleurs acidulées et très présentes
- Demigo : ville de l’intérieur des terres, région minière, assez proche des montagnes ; chocolat, crème, café
- Sikaakwa : ville de l’intérieur, proche d’un grand lac ; vert mousse, gris béton
L’action d’In-Existence se situe à Demigo ; on évoque à l’arrière-plan la région de Pariki, la ville de Teskani et les montagnes Rocheuses.
